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lundi 28 juin 2010

Guerre asymétrique : ne pas surestimer l'adversaire

En cette période de tension sur le front afghan, et pas seulement sur le terrain mais également dans les hautes sphères, alors que les résultats se font attendre et que de nombreux "experts" n'entrevoient que la défaite, faut-il envisager un changement de cap, ou des approches complémentaires, dans la lutte contre le terrorisme à l'échelle planétaire ?



Je conseille à ce sujet la lecture de l'article "The case for calling them nitwits" ("Et si on les qualifiat d'idiots") de Daniel Byman et Christine Fair, qui vient en quelque sorte démythifier, de façon assez crue, le visage de l'ennemi :

They blow each other up by mistake. They bungle even simple schemes. They get intimate with cows and donkeys. Our terrorist enemies trade on the perception that they’re well trained and religiously devout, but in fact, many are fools and perverts who are far less organized and sophisticated than we imagine. Can being more realistic about who our foes actually are help us stop the truly dangerous ones?

Ils seraient donc bien moins fanatiques (comprendre : nous ne sommes peut-être pas en présence d'un choc des civilisations) et organisés que cela. Une piste à suivre pour prendre le dessus dans la guerre des images et contribuer à la low cost war ?

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